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Florie Dumas-Kemp, collaboration spéciale

Note : Nous republions un article sur la hausse des cyberviolences sexistes depuis de début de la pandémie et les luttes internationales pour un internet féministe. L'article original est publié dans la Gazette de la Mauricie.

En avril 2020, au début de la crise sanitaire mondiale, c’est environ la moitié de l’humanité qui était sous confinement. Sans précédent, ce confinement généralisé aura permis de sauver des millions de vies et de réduire la courbe de propagation du virus. Parallèlement, une autre courbe était loin de s’aplatir mondialement : celle des violences faites aux femmes. Lorsqu’il est question de cet enjeu, on observe une tendance à banaliser l’impact et l’ampleur de cette violence lorsqu’elle est perpétrée en ligne.

Confinement avec un agresseur, isolement social, insécurité économique, perte de liberté de mouvement : tous ces facteurs ont eu pour effet d’intensifier les violences de genre à travers le monde, rapporte ONU Femmes. Les dénonciations de violences domestiques et les appels d’urgence ont fait un bond de 25% avec l’arrivée de la pandémie. Les violences sexistes en ligne n’ont pas fait exception, comme l’ont observé des organisations un peu partout dans le monde.

Vous pouvez lire la suite sur le site de la Gazette de la Mauricie.